«Ce sont 6500 étudiants âgés entre 17 et 25 ans qui passent ici chaque année et nombreux d’entre eux y feront leur première expérience de consommation d’alcool», d’indiquer la sergente Geneviève Major, porte-parole de la Police de Laval.
Mélange explosif
Pour l’exercice, des démonstrateurs illustrant des verres de vin, bière, cocktail et shooter de vodka étaient déposés sur une table aux côtés de différents formats de boissons énergisantes mixant café et alcool.
«La caféine est traître et altère, inhibe, la capacité d’autorégulation de notre corps, d’expliquer les agents sociocommunautaires Frédéric St-Jacques et Maxime Rheault entre deux visites d’étudiants curieux d’en savoir plus sur le sujet. On sent moins les facteurs d’ébriété (maux de tête, bouche sèche, coordination motrice).»
La majorité des passants sont surpris, voire estomaqués, quand ils apprennent qu’une grande cannette d’une telle boisson, coûtant un mince 4 $, équivaut à une bouteille entière de vin en termes de quantité d’alcool. Plus de sucre en prime!
«Au final, on ne donne plus de directive autre que l’important, si vous voulez consommer, est de prévoir le moyen de retourner à la maison, tout en ajoutant que la consigne concernant le cannabis, elle, n’a pas changé: c’est tolérance zéro!» continue Maxime Rheault, spécifiant que de l’information est aussi diffusée sur le consentement sexuel sous le slogan «Un verre de trop, un geste de trop».
Outils efficaces
Il s’agissait d’une des trois visites annuelles de prévention effectuées par la Police de Laval au Collège Montmorency pour l’alcool au volant.
Encore une fois, des lunettes truquées servant à montrer la distorsion visuelle après consommation étaient de service, les participants s’attaquant ensuite bravement à mettre une clé dans une serrure ou marcher en ligne droite, pendant que des vidéos se relayaient sur écran.
«Des jeunes se sont confiés à nous, nous racontant s’être réveillés inconscients ou en voyage. Il faut savoir que souvent, la personne ignore ce que contiennent ces cannettes et ça peut possiblement être très nocif, d’ajouter l’agente Sandra Parenteau. C’est pourquoi certains nous disent qu’ils ne boivent pas et en sont bien contents quand ils voient tout ça.»
«Ce sont 6500 étudiants âgés entre 17 et 25 ans qui passent ici chaque année et nombreux d’entre eux y feront leur première expérience de consommation d’alcool», d’indiquer la sergente Geneviève Major, porte-parole de la Police de Laval.
Mélange explosif
Pour l’exercice, des démonstrateurs illustrant des verres de vin, bière, cocktail et shooter de vodka étaient déposés sur une table aux côtés de différents formats de boissons énergisantes mixant café et alcool.
«La caféine est traître et altère, inhibe, la capacité d’autorégulation de notre corps, d’expliquer les agents sociocommunautaires Frédéric St-Jacques et Maxime Rheault entre deux visites d’étudiants curieux d’en savoir plus sur le sujet. On sent moins les facteurs d’ébriété (maux de tête, bouche sèche, coordination motrice).»
La majorité des passants sont surpris, voire estomaqués, quand ils apprennent qu’une grande cannette d’une telle boisson, coûtant un mince 4 $, équivaut à une bouteille entière de vin en termes de quantité d’alcool. Plus de sucre en prime!
«Au final, on ne donne plus de directive autre que l’important, si vous voulez consommer, est de prévoir le moyen de retourner à la maison, tout en ajoutant que la consigne concernant le cannabis, elle, n’a pas changé: c’est tolérance zéro!» continue Maxime Rheault, spécifiant que de l’information est aussi diffusée sur le consentement sexuel sous le slogan «Un verre de trop, un geste de trop».
Outils efficaces
Il s’agissait d’une des trois visites annuelles de prévention effectuées par la Police de Laval au Collège Montmorency pour l’alcool au volant.
Encore une fois, des lunettes truquées servant à montrer la distorsion visuelle après consommation étaient de service, les participants s’attaquant ensuite bravement à mettre une clé dans une serrure ou marcher en ligne droite, pendant que des vidéos se relayaient sur écran.
«Des jeunes se sont confiés à nous, nous racontant s’être réveillés inconscients ou en voyage. Il faut savoir que souvent, la personne ignore ce que contiennent ces cannettes et ça peut possiblement être très nocif, d’ajouter l’agente Sandra Parenteau. C’est pourquoi certains nous disent qu’ils ne boivent pas et en sont bien contents quand ils voient tout ça.»