Il s’agit-là d’une avance au titre de l’indemnité finale que touchera l’exproprié qui conteste l’offre de la Ville.
«La cause sera entendue ultérieurement par le Tribunal administratif du Québec pour fixer l’indemnité définitive», peut-on lire à la fin d’un court communiqué publié en fin de journée du 10 avril par le Service des communications de la Ville.
12 hectares
D’une superficie de 12 hectares, ce terrain qui loge au quadrant sud-est des boulevards Saint-Martin et de L’Avenir dans Laval-des-Rapides figure parmi les dernières grandes surfaces disponibles au centre-ville.
«Nos équipes se mettront à l’œuvre bientôt afin de démarrer un processus de réflexion pour aménager ce terrain», a déclaré le maire Marc Demers qui prévoit consacrer à des fins de parc et d’espaces verts environ 5 des 12 hectares acquis.
«Notre ambition demeure que les citoyens de Laval puissent bénéficier d’un vaste parc urbain, grand comme six terrains de football», illustre-t-il.
Rappelons qu’à défaut d’en arriver à une entente de gré à gré avec les propriétaires avec lesquelles elle négociait depuis près d’un an, la Ville avait décidé à l’été 2017 de procéder par expropriation.
Il s’agit-là d’une avance au titre de l’indemnité finale que touchera l’exproprié qui conteste l’offre de la Ville.
«La cause sera entendue ultérieurement par le Tribunal administratif du Québec pour fixer l’indemnité définitive», peut-on lire à la fin d’un court communiqué publié en fin de journée du 10 avril par le Service des communications de la Ville.
12 hectares
D’une superficie de 12 hectares, ce terrain qui loge au quadrant sud-est des boulevards Saint-Martin et de L’Avenir dans Laval-des-Rapides figure parmi les dernières grandes surfaces disponibles au centre-ville.
«Nos équipes se mettront à l’œuvre bientôt afin de démarrer un processus de réflexion pour aménager ce terrain», a déclaré le maire Marc Demers qui prévoit consacrer à des fins de parc et d’espaces verts environ 5 des 12 hectares acquis.
«Notre ambition demeure que les citoyens de Laval puissent bénéficier d’un vaste parc urbain, grand comme six terrains de football», illustre-t-il.
Rappelons qu’à défaut d’en arriver à une entente de gré à gré avec les propriétaires avec lesquelles elle négociait depuis près d’un an, la Ville avait décidé à l’été 2017 de procéder par expropriation.