Situé au nord-ouest de l’autoroute Jean-Noël-Lavoie (A-440) et du boulevard des Laurentides, cet espace naturel est identifié au schéma d’aménagement et de développement révisé comme bois d’intérêt municipal, voire un «joyau naturel au cœur de la trame urbaine».
Par voie de communiqué le 29 mars, le maire Marc Demers y déclarait que cette acquisition vise «la conservation de cet espace boisé particulièrement riche d’un point de vue environnemental dans un secteur de Laval où la présence de milieux naturels est plutôt rare».
Cet investissement, ajoutait-il, s’inscrit dans la vision stratégique Laval 2035 – Urbaine de nature.
Érablière
Composé d’un peuplement de feuillus mélangé et abritant cinq milieux humides, le bois d’Édimbourg se distingue par la présence d’une érablière d’intérêt écologique élevé.
«Malgré le passé agricole et le développement urbain, l’intégrité de cette érablière a été préservée des perturbations et offre un refuge à plusieurs espèces floristiques à statut précaire», peut-on lire dans le communiqué.
Parmi ces espèces, on cite la sanguinaire du Canada, le trille blanc, la matteuccie fougère-à-l’autruche, le noyer cendré et l’érable noir.
Quant au conseiller municipal de Vimont, Michel Poissant fait valoir que la préservation de ce bois au cœur de quartiers résidentiels et industriels «permettra aux citoyens de profiter du grand air à proximité de leur résidence».
Cible
Pour la période 2017-2019, la Ville a dégagé une enveloppe budgétaire de 12 M$ dédiée à l’acquisition de milieux naturels de grande valeur écologique.
Ces investissements projetés s’arriment avec le plan d’action 2020 et le schéma d’aménagement nouvellement révisé qui ciblent un objectif de protection des milieux naturels équivalant à 14 % du territoire lavallois.
Situé au nord-ouest de l’autoroute Jean-Noël-Lavoie (A-440) et du boulevard des Laurentides, cet espace naturel est identifié au schéma d’aménagement et de développement révisé comme bois d’intérêt municipal, voire un «joyau naturel au cœur de la trame urbaine».
Par voie de communiqué le 29 mars, le maire Marc Demers y déclarait que cette acquisition vise «la conservation de cet espace boisé particulièrement riche d’un point de vue environnemental dans un secteur de Laval où la présence de milieux naturels est plutôt rare».
Cet investissement, ajoutait-il, s’inscrit dans la vision stratégique Laval 2035 – Urbaine de nature.
Érablière
Composé d’un peuplement de feuillus mélangé et abritant cinq milieux humides, le bois d’Édimbourg se distingue par la présence d’une érablière d’intérêt écologique élevé.
«Malgré le passé agricole et le développement urbain, l’intégrité de cette érablière a été préservée des perturbations et offre un refuge à plusieurs espèces floristiques à statut précaire», peut-on lire dans le communiqué.
Parmi ces espèces, on cite la sanguinaire du Canada, le trille blanc, la matteuccie fougère-à-l’autruche, le noyer cendré et l’érable noir.
Quant au conseiller municipal de Vimont, Michel Poissant fait valoir que la préservation de ce bois au cœur de quartiers résidentiels et industriels «permettra aux citoyens de profiter du grand air à proximité de leur résidence».
Cible
Pour la période 2017-2019, la Ville a dégagé une enveloppe budgétaire de 12 M$ dédiée à l’acquisition de milieux naturels de grande valeur écologique.
Ces investissements projetés s’arriment avec le plan d’action 2020 et le schéma d’aménagement nouvellement révisé qui ciblent un objectif de protection des milieux naturels équivalant à 14 % du territoire lavallois.