Citant un rapport interne, Mme Revelakis dévoilait le 12 février d’importants manquements aux obligations du fournisseur Transvrac Montréal-Laval prévues au contrat de 2,2 M$ octroyé par la Ville pour le transport de la neige dans les secteurs de St-Martin et Chomedey.
Le 16 février, par l’entremise d’un porte-parole, Mme Revelakis, qui se trouve actuellement à l’extérieur du pays, a vivement réagi aux commentaires de l’administration Demers selon lesquels elle aurait manqué à son devoir de réserve en diffusant des «informations privilégiées» qui n’auraient pas dû être rendues publiques.
Bien qu’elle reconnaisse qu’en vertu de l’article 6.6 du Code – en lien avec la protection de l’information confidentielle ou privilégiée – il soit interdit à tout élu de communiquer des informations sensibles qui ne sont pas à la disposition du public, la principale intéressée est d’avis que l’information interne qu’elle a diffusée aurait pu être obtenue via la Loi sur l’accès à l’information.
Quant aux craintes exprimées pour la santé et la sécurité des Lavallois, Mme Revelakis persiste et signe, rappelant qu’elle reçoit depuis le début de l’année de 10 à 15 appels et courriels par jour de citoyens inquiets en raison des problèmes liés au déneigement de leur rue.
Au cabinet du maire, le 16 février en début d’après-midi, on n’écartait toujours pas la possibilité de déposer une plainte devant la Commission municipale du Québec pour manquement au Code d’éthique et de déontologie des élus de la Ville.
Citant un rapport interne, Mme Revelakis dévoilait le 12 février d’importants manquements aux obligations du fournisseur Transvrac Montréal-Laval prévues au contrat de 2,2 M$ octroyé par la Ville pour le transport de la neige dans les secteurs de St-Martin et Chomedey.
Le 16 février, par l’entremise d’un porte-parole, Mme Revelakis, qui se trouve actuellement à l’extérieur du pays, a vivement réagi aux commentaires de l’administration Demers selon lesquels elle aurait manqué à son devoir de réserve en diffusant des «informations privilégiées» qui n’auraient pas dû être rendues publiques.
Bien qu’elle reconnaisse qu’en vertu de l’article 6.6 du Code – en lien avec la protection de l’information confidentielle ou privilégiée – il soit interdit à tout élu de communiquer des informations sensibles qui ne sont pas à la disposition du public, la principale intéressée est d’avis que l’information interne qu’elle a diffusée aurait pu être obtenue via la Loi sur l’accès à l’information.
Quant aux craintes exprimées pour la santé et la sécurité des Lavallois, Mme Revelakis persiste et signe, rappelant qu’elle reçoit depuis le début de l’année de 10 à 15 appels et courriels par jour de citoyens inquiets en raison des problèmes liés au déneigement de leur rue.
Au cabinet du maire, le 16 février en début d’après-midi, on n’écartait toujours pas la possibilité de déposer une plainte devant la Commission municipale du Québec pour manquement au Code d’éthique et de déontologie des élus de la Ville.