Via communiqué, Marc Demers affirme que cette congestion mine la qualité de vie des citoyens et menace le développement de la région à moyen terme.
Près de 60 % des citoyens de Laval et des Basses-Laurentides disent que la congestion routière affecte leur santé, selon une étude de la Société de transport de Laval (STL). Près de 80 % affirment que la situation s’est empirée depuis cinq ans.
Cette consultation montre aussi que près de 85 % utilisent l’automobile pour se rendre au travail, mais les deux tiers utiliseraient le transport en commun si leur temps de déplacement s’en trouvait réduit.
Plan anti congestion
Un fort volume d’autobus des Basses-Laurentides converge vers l’extrémité est de la ligne orange.
«Il faut planifier maintenant le prolongement de ligne orange à partir de Côte-Vertu vers Laval pour offrir un autre accès vers Montréal ou l’extension du REM vers notre territoire, a déclaré M. De Cotis en soulignant que la population de Laval va croitre de 26 % d’ici 20 ans.
Une extension du REM pourrait aussi être lancée vers le centre-ville de Laval, car il faut dès maintenant envisager la croissance des modes lourds de transport sur l’île Jésus, croit le maire Demers.
Le plan proposé par l’Équipe Demers intègre les préoccupations exprimées par ses collègues des Basses-Laurentides, soit le prolongement immédiat des autoroutes 19 et 13 selon une conception axée sur le transport collectif.
«Il faut voir l’A-19 comme une autoroute d’autobus, a soutenu le maire sortant de Laval. Les usagers convergeront vers une des stations de la ligne orange qui permettra de circuler vers l’ouest ou l’est.»
Une autre mesure mise de l’avant serait l’implantation d’une voie centrale réservée aux autobus sur le terre-plein de l’autoroute 15, telle que préconisée par plusieurs élus des villes riveraines. Un sommet sur le transport collectif auxquels seraient conviés les élus de Laval et des Basses-Laurentides est à l’étude. L’objectif serait de profiter notamment des fonds gouvernementaux destinés au transport collectif.
Vers une continuité
Dans l’immédiat, le maire Demers s’engage à poursuivre le développement du transport collectif a l’échelle locale. Il est prévu d’implanter une ligne complètement électrique en 2019-2020 après l’acquisition de 10 bus électriques. L’appel d’offres sera lancé en décembre 2017.
«À la Société de transport de Laval, nous n’achèterons que des autobus électriques à compter de 2023», a précisé David De Cotis qui a également indiqué que la STL disposera d’un nouveau garage prêt à accueillir ces autobus en 2022. (B.L.)
Via communiqué, Marc Demers affirme que cette congestion mine la qualité de vie des citoyens et menace le développement de la région à moyen terme.
Près de 60 % des citoyens de Laval et des Basses-Laurentides disent que la congestion routière affecte leur santé, selon une étude de la Société de transport de Laval (STL). Près de 80 % affirment que la situation s’est empirée depuis cinq ans.
Cette consultation montre aussi que près de 85 % utilisent l’automobile pour se rendre au travail, mais les deux tiers utiliseraient le transport en commun si leur temps de déplacement s’en trouvait réduit.
Plan anti congestion
Un fort volume d’autobus des Basses-Laurentides converge vers l’extrémité est de la ligne orange.
«Il faut planifier maintenant le prolongement de ligne orange à partir de Côte-Vertu vers Laval pour offrir un autre accès vers Montréal ou l’extension du REM vers notre territoire, a déclaré M. De Cotis en soulignant que la population de Laval va croitre de 26 % d’ici 20 ans.
Une extension du REM pourrait aussi être lancée vers le centre-ville de Laval, car il faut dès maintenant envisager la croissance des modes lourds de transport sur l’île Jésus, croit le maire Demers.
Le plan proposé par l’Équipe Demers intègre les préoccupations exprimées par ses collègues des Basses-Laurentides, soit le prolongement immédiat des autoroutes 19 et 13 selon une conception axée sur le transport collectif.
«Il faut voir l’A-19 comme une autoroute d’autobus, a soutenu le maire sortant de Laval. Les usagers convergeront vers une des stations de la ligne orange qui permettra de circuler vers l’ouest ou l’est.»
Une autre mesure mise de l’avant serait l’implantation d’une voie centrale réservée aux autobus sur le terre-plein de l’autoroute 15, telle que préconisée par plusieurs élus des villes riveraines. Un sommet sur le transport collectif auxquels seraient conviés les élus de Laval et des Basses-Laurentides est à l’étude. L’objectif serait de profiter notamment des fonds gouvernementaux destinés au transport collectif.
Vers une continuité
Dans l’immédiat, le maire Demers s’engage à poursuivre le développement du transport collectif a l’échelle locale. Il est prévu d’implanter une ligne complètement électrique en 2019-2020 après l’acquisition de 10 bus électriques. L’appel d’offres sera lancé en décembre 2017.
«À la Société de transport de Laval, nous n’achèterons que des autobus électriques à compter de 2023», a précisé David De Cotis qui a également indiqué que la STL disposera d’un nouveau garage prêt à accueillir ces autobus en 2022. (B.L.)